Stabat Mater Furiosa

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Les 21, 22 et 23 juillet 2020 au Cellier de Clairvaux / Dijon / 21h

#NOTREétéàDIJON

Mise en scène / Julien Barbazin
Auteur / Jean-Pierre Siméon
Scénographie & Lumière / Douzenel
Musique / Antoine Lenoble

Avec Caroline Figuiera et Antoine Lenoble

« Je rêve d’un texte qui règle son compte (non pas définitivement puisqu’on n’en finit jamais, du moins, radicalement) à l’homme de guerre, cet éternel masculin. Parole d’une femme, libérée autant qu’il se peut du dolorisme que lui assignent des conventions millénaires, parole dressée en invective brutale et sans rémission face à la merde (il faut ici un mot net et absolu) du meurtre perpétuel. »

« A d’autres le pathétique qui s’accommode de la fatalité. Je veux une parole comme l’effet d’une conscience excédée, noir précipité du malheur, de la raison et de la colère. Non pas un cri qui comble le silence sur les ruines mais qui accuse le vide. Seul l’excès d’une conscience à bout d’elle-même est à la mesure de ce défaut d’humanité qui depuis l’aube des temps donne lieu et emploi à la mâle ivresse de la tuerie. Je rêve d’une parole dont on ne se remet pas, non en raison de sa violence mais parce qu’elle porte en elle une évidence sans réplique. »

Jean-Pierre Siméon

Réservation indispensable
cielesecorches@gmail.com ou 06 21 52 38 95

Retour de presse

Blog JMP

« Stabat Mater Furiosa » de Jean-Pierre Siméon, mesc Julien Barbazin (2014, reprise 2020)

– plus d’infos –

Stabat Mater Furiosa

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Mise en scène / Julien Barbazin
Auteur / Jean-Pierre Siméon
Scénographie & Lumière / Douzenel
Musique / Antoine Lenoble

Avec Caroline Figuiera et Antoine Lenoble

« Je rêve d’un texte qui règle son compte (non pas définitivement puisqu’on n’en finit jamais, du moins, radicalement) à l’homme de guerre, cet éternel masculin. Parole d’une femme, libérée autant qu’il se peut du dolorisme que lui assignent des conventions millénaires, parole dressée en invective brutale et sans rémission face à la merde (il faut ici un mot net et absolu) du meurtre perpétuel. »

« A d’autres le pathétique qui s’accommode de la fatalité. Je veux une parole comme l’effet d’une conscience excédée, noir précipité du malheur, de la raison et de la colère. Non pas un cri qui comble le silence sur les ruines mais qui accuse le vide. Seul l’excès d’une conscience à bout d’elle-même est à la mesure de ce défaut d’humanité qui depuis l’aube des temps donne lieu et emploi à la mâle ivresse de la tuerie. Je rêve d’une parole dont on ne se remet pas, non en raison de sa violence mais parce qu’elle porte en elle une évidence sans réplique. »

Jean-Pierre Siméon

Réservation indispensable

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"Le devoir de l'art est de fracasser les consciences" L. Calaferte